Aujourd'hui, de par mon état de grâce de démissionnaire, j'ai échappé à la visite clients: Un gros paquet de managers du client qui débarquent pour palper la marchandise. S'enfermer dans une salle de réunion, rester sérieux, ne pas s'endormir, c'est un peu dans le genre «La nuit des powerpointivores» en moins drôle et beaucoup plus soporifique.
Pour faire un break, ils débarquent dans l'open space pour tester la camelote: voir que derrière la machine à CVs, il y a des vrais bureaux, des vrais bonshommes en chair et en os, des PCs (c'est bien, pour des développeurs), et tout et tout.
Dans la foulée, j'ai aussi échappé à la suite incontournable: la bouffe client, se taper à 20 dans un resto, faire gallerie pour ceux d'entre-eux qui aiment faire le malin, déguster du homard, siroter des grands crus et sucer du client, mmmmh!
Et donc je suis rentré à la maison et j'ai mangé là (ce que prépare notre cuisinière Nord-Indienne; mon collègue et sa femme, originaire de Calcutta, n'ont pas adopté la première cuisinière, Sud-Indienne, pas confondre c'est pas la même chose!). Un peu plus tard, un soudain creux nocturne m'a poussé à ouvrir le frigo pour y fureter à la recherche de ce dessert qu'on a acheté hier... Mais malgré mon entraînement, j'ai été contraint à capituler. Le frigo est plein de petits pots contenant toutes sortes de concoctions et préparations d'origine douteuse (Nord-Indienne) et à la mine insondable. Impossible de détecter le dessert des légumes exotiques ou de la sauce explosive.
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