Samedi 1er avril, dans la continuité du vendredi 31 mars donc, et pas dans les poissons (hein Steph? ;-)
On a trouvé un coin sympa pour le petit déjeûner (à l'aube, vers 11h, certains ont le sommeil plus long que d'autres, m'a-t-on dit...), où on s'est rendus compte que dans cette petite ville reculée, les gens réservent d'amusants regards en coin inquisiteurs à deux gars aux cheveux longs qui promènent une petite fille. Allez savoir leur version de l'histoire! Sans oublier qu'avec cette foutue convention de hockey qui réserve tous les hôtels, on était prêts à prendre une chambre avec un lit unique. Grand, mais unique...
Le musée de la marine abritait une collection de pièces de marine aussi authentiques qu'inintéressantes (des pompes, des engrenages, des machines électriques, tous des trucs qui font bander les ingénieurs en méca, mais qui n'attirent pas pour autant l'attention du commun des mortels), une visite guidée des épaves qui gisent au fond du Lac Ontario, l'histoire poignante de tel ou tel navire ou matelot, avec force plans, carnets de bord ou reproductions à l'appui, et un train électrique, un vrai qui marchait et qu'on pouvait même toucher. Enfin, on pouvait probablement pas, mais on savait (comme on dit chez nous)...
(non, ça c'est juste un cheminot qui avait garé sa loco devant notre hôtel)
:-) Donc forcément, on a un peu touché, juste un peu... On n'a pas poussé le bouchon jusqu'à prétendre que Noémi était responsable de cette catastrophe ferrovière, quand la préposée est venue voir ce qui se passait; on a rapidement remis quelques wagons debout et on s'est cassés en douce. Si Olivier rejoint par hasard un jour la SNCB, rappelez-moi de ne plus jamais mettre les pieds dans un train!
07 avril 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
Pas beau les yeux rouges. Ya un petit bouton dans iPhoto qui prend très bien soin de la chose.
Très juste....
beaucoup mieux :-)
Enregistrer un commentaire